Mardi, 03 octobre 2006
Après Aïn Beïda, la plus grande agglomération de la wilaya, où bon nombre de rues et trottoirs sont squattés depuis belle lurette par les commerçants informels de tous genres, c’est au tour du chef-lieu de wilaya de subir le même sort. En effet, le commerce informel a envahi plusieurs quartiers populaires tels que Annas-Nassim, 750 Logements... Il faut dire que l’absence de marché couvert à Oum El-Bouaghi a encouragé ce phénomène. Dernièrement, les commerçants se sont rabattus sur la rue du 20-Août-55, ne laissant aucun espace devant l’école Yousfi-Hassan, le CEM Bentbibel où la clôture est utilisée comme étal, ainsi que celle de la mosquée Abither. Une véritable anarchie.
En dépit de l’attribution par l’APC de baraques à l’intérieur du marché hebdomadaire, pour dégager et délocaliser les commerçants informels de Maâzoula, les commerçants continuent à exercer dans les quartiers. Avec le déficit des marchés couverts, notamment dans les grands centres urbains, l’apparition des marchés informels ne cesse de s’accentuer et la mission de contrôle devient de plus en plus délicate !K. Messaâd
Source : Liberté
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